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EDMOND PETITJEAN. (1844-1925).
EDMOND PETITJEAN. (1844-1925)

NÉ à Neufchâteau dans les Vosges, son père le contraindra à Étudier le droit à Nancy avant de se tourner vers des Études artistiques.
Diplöme de droit en poche, il se voue à la peinture et obtient rapidement de la reconnaissance lors d’expositions de la Société Lorraine des Amis des Arts.

En 1873, ses œuvres seront particulièrement remarquées au Salon de Paris. Il se consacre alors tout entier à sa carrière artistique. Mention en 1881, suivie d’une médaille de bronze en 1884, puis médaille d’argent hors concours, en 1885. Il reçoit une médaille d’argent à l’Exposition Universelle de 1889 puis est décoré de la Légion d’honneur en 1892 et reçoit une médaille d’or à l’Exposition Universelle de 1900. Il devient membre du jury du Comité des Artistes français et il y sera régulièrement réélu.

Edmond Petitjean peint d’abord la région de son enfance, la Lorraine : des rues de villages, des champs et des fermes. Il se rend tour à tour dans le Sud puis dans l’Ouest et peint les plages du Nord de la France et les ports de Rotterdam, d’Anvers et de Flessingue. Exigeant dans son travail, il réalise de nombreuses Études dont le fond d’atelier ici présent permet de retrouver des esquisses et des travaux préparatoires d’œuvres qui se trouvent aujourd’hui dans les musées et dans de nombreuses collections particulières.

Ses œuvres sont présentes dans de nombreux musées de province, ainsi qu’à Paris. Il peint Également le décor du restaurant Le train bleu, gare de Lyon à Paris. Dans ma peinture j’ai cherché passionnément la perfection, la délicatesse, la finesse du sentiment et du ton.


Un cachet de la vente pourra être apposé à la demande des adjudicataires sur les œuvres d’Edmond Petitjean.
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JEANNE LAUVERNAY-PETITJEAN. (1875-1955).
JEANNE LAUVERNAY-PETITJEAN. (1875-1955)

Jeanne Lauvernay-Petitjean naît à Amiens et Épouse Edmond Petitjean en 1904. Elle est membre de la Société des Artistes français, où elle obtient une Mention Honorable en 1903 et une médaille d’argent en 1914. Elle peindra parfois les mêmes sujets que son mari en travaillant à ses cotés.
Leur fille AndrÉe lui servira souvent de modèle.
Son style offre l’intérêt d’une grande spontanéité et d’une recherche de couleurs. Ses peintures de fleurs sont très appréciées des Japonais.
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